Le 10 septembre, la Faculté de droit canonique de Paris a vécu une rentrée universitaire avec deux invités de marque : le cardinal Mario Grech, évêque maltais, et sœur Nathalie Becquart, xavière française, respectivement secrétaire général et sous-secrétaire du synode sur la synodalité. Les jours précédents, ils étaient reçus par les évêques de France pour marquer le lancement d’une grande consultation diocésaine.
Objectif : mobiliser les catholiques pour cette réflexion internationale qui s’achèvera par une rencontre des évêques du monde entier à Rome, à l’automne 2023. Rencontre avec celui qui a pour mission de coordonner l’ensemble de la démarche.
Vous êtes le secrétaire d’un « synode sur la synodalité » qui insiste, dans le document préparatoire publié le 7 septembre, sur l’ouverture d’un dialogue aux périphéries comme hors de l’Église. Comment définir les mots « synode » et « synodalité » à ceux et celles pour qui cela ressemble à un « jargon d’Église » ?
Ce synode va commencer en s’appuyant sur la consultation du Peuple de Dieu, c’est le premier pas, à travers des questions proposées aux Église locales. Précédemment, le pape François avait déjà envoyé
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