Nuits et gelées blanches marquent ce printemps et le sommeil des vignerons. Qui cette semaine étaient sur le pont des nuits durant avec leurs armes, de la bougie à l’éolienne en passant par les voiles et l’aspersion. S’il en était besoin, la viticulture démontre qu’elle est un sport de combat où la météo fait et défait tout. Alors que les dégâts sont variables, et toujours en cours d’estimation, les surcoûts de la lutte antigel sont déjà inscrits au bilan des vignobles